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mercredi 17 septembre 2008

La privatisation d’Algérie Télécom

France Télécom abandonne la partie, Saudi Télécom s’accroche, les Koweitiens et les Britanniques dans l’expectative mercredi 17 septembre 2008.
Alors que le géant français des télécommunications, France Télécom, abandonne officiellement l’option de nouer un partenariat avec des opérateurs existant en Algérie,


la compagnie « Saudi Télécom » ne désespère pas de décrocher une prise de participation dans le capital d’Algérie Télécom, notamment depuis le refus des Marocains.
Hier, le P-DG de France Télécom, Didier Lombard, dans une interview au Financial Times, a définitivement écarté la piste algérienne pour des cibles potentielles dans des pays anglophones en Afrique. En effet, le patron de France Télécom n’évoque plus la privatisation d’Algérie Télécom comme un objectif prioritaire pour son groupe qui va dégager cette année un cash-flow de près de 8 milliards d’euros. Il exclut de même l’acquisition d’un opérateur de taille importante dans la région, le sud-africain MTN ou l’égyptien Orascom Télécom, « parce que leur valeur est déjà dans leurs cours ».
En tous cas, c’est la première fois depuis au moins trois ans qu’un haut responsable du groupe français n’évoque plus l’Algérie comme une priorité dans sa stratégie de développement à l’international. A maintes fois, France Télécom a eu à exprimer son intérêt pour la privatisation de l’opérateur historique Algérie Télécom, qui a été plusieurs fois repoussée. L’opérateur français envisageait également de nouer des partenariats avec deux autres opérateurs mobiles algériens : Nedjma, soutenu par Qatar Télécom QSC et Djezzy, détenu par la société égyptienne Orascom Télécom Holding. S’exprimant lors d’une conférence sur les télécommunications, à Paris, rapportée par l’agence financière Dow Jones, Anne Bouverot, directrice du développement international de l’opérateur français, a tenu à souligner : « Nous continuons de surveiller très étroitement le marché algérien de la téléphonie mobile qui est effectivement porteur. France Télécom prévoyait même de s’implanter en Algérie avant la fin de l’année 2008.
Mais cette dernière sortie du premier responsable de France Télécom semble avoir définitivement enterrer les ambitions de l’opérateur en Algérie. Selon des sources, ce retournement de dernière minute s’explique par la décision du gouvernement algérien qui a décidé, après plusieurs années d’hésitation, d’abandonner la piste d’une privatisation de l’opérateur historique « Algérie Télécom ». Selon des sources responsables, cette décision, prise au plus haut niveau de l’Etat, est motivée par des considérations de souveraineté nationale. A l’instar des hydrocarbures, les télécommunications, notamment fixes, sont, en effet, considérées comme un secteur qui relève de la souveraineté nationale et de la sûreté de l’Etat. Une partie des communications des forces de sécurité et de l’armée est gérée par « Algérie Télécom » et le pays est en état d’urgence depuis 1992. Les forces de l’ordre veulent un maximum de souplesse dans la gestion de ces communications. Un partenaire étranger dans la gestion d’Algérie Télécom pourrait s’avérer handicapant. D’autres sources voient que la décision a été prise, par contre, pour des raisons de patriotisme économique affiché par le nouveau chef de gouvernement qui tend à éviter des opérations de privatisation de secteurs sensibles.
Par ailleurs, d’autres opérateurs des télécoms ne baissent pas les bras et continuent de manifester leur intérêt pour le marché algérien. Il s’agit de la compagnie saoudienne, « Saudi Télécom », qui ne désespère pas de décrocher une prise de participation dans le capital d’Algérie Télécom, notamment depuis le refus des Marocains. « Nous sommes toujours intéressés par l’Algérie car c’est un marché avec un énorme potentiel », a déclaré Saoud Al-Duweish, directeur de « Saudi Télécom ». La privatisation, annoncée en grande pompe, d’Algérie Télécom semble intéresser aussi le groupe koweïtien Mobile Télécommunications Company (MTC) ainsi que le numéro un des télécommunications aux Emirats arabes unis, Etisalat. Ce dernier opérateur a, à plusieurs reprises, exprimé son intérêt accru à prendre « sous sa bannière » Algérie Télécom. Son premier responsable, M. Mohamed Hassan Amrane, a révélé, il y a de cela quelques mois à Reuters, en marge du forum économique de Davos, que son groupe est prêt à investir trois milliards de dollars dans le capital d’Algérie Télécom. Les Britanniques ne sont pas en reste.
Seulement, British Télécom, numéro un mondial dans le domaine des télécommunications, propose plutôt un partenariat stratégique basé sur un accompagnement technique et technologique d’Algérie Télécom. En attendant, le nouveau ministre de la Poste et des TIC temporise sur l’option d’ouverture de capital de l’opérateur historique qui connaît actuellement un grand déballage sur le plan des infrastructures et de la mise à niveau technologique. Le choix de privatisation d’Algérie Télécom, dit-on, est ajourné après la Présidentielle de 2009.
Abed Tilioua — La voix de L’Oranie

samedi 13 septembre 2008

Les promotion de ramadhan

Durant ce mois plusieur promotions ont été lancé :
MOBILIS : Appel gratuits apres la premiere , deuxieme ou sinquieme minute (selon votre rechargement)
NEDJMA : Appel gratuit apres la 5 éme minute vers nedjma et quelque pays etranger ( france canada...)
DJEZZY : les appel gratuit apres 5 éme minute vers les 14 millions qui utilisent OTA
ALLO : réduction des prix de 50% de 12h-18h